Soirée kitsch chez le sgiò

10,00 €

Cette causerie qui casse les codes ressemble à un ‘chjami i rispondi’ entre Sgiò Tonù, l’auteur central, et ses joyeux convives.

14 textes formant l’accord imparfait, autant d’échos qui se répondent à la manière d’un respons ou d’un antienne.

Il y sera question de cette Corse dont personne n’ose parler, sur fond de désaffiliation, d’acculturation, de perte des identités dans un contexte de mutation sociale et de crise. La face cachée d’une île “paradisiaque”, vouée au fatalisme, à l’incurie ainsi qu’aux affres du tout tourisme.

Si le ton semble blasé, il est surtout très décalé : il vaut mieux en rire ! Et puis qu’est-ce qu’on peut faire d’autre ? Ah oui : il y sera aussi question de fatalisme. Et de tout, de rien surtout : avec le Sgiò, les auteurs sont libres comme l’air. Pourvu qu’ils devinent ses intentions, saisissent la sombre couleur de l’émotion, rehaussée de vert fluo, et qu’ils suivent leur instinct plutôt que des techniques.

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : si toutefois le Sgiò avait imposé un thème, celui-ci n’a guère été suivi, au titre de la liberté d’expression

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plutôt un éloge du dadaïsme ?

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plus proche de l’art performance que des recueils de nouvelles classiques, où on a vite le sentiment que chacun écrit dans son coin. Ici les auteurs se répondent, ou plutôt ils donnent à tour de rôle, parfois avec stupeur, leur réplique devant le Sgiò.

Et puis il y a le cadavre exquis, clé de voûte du recueil. Chaque auteur ayant apporté sa pierre à l’édifice, sans toutefois signer sa contribution : à toi, cher lecteur, d’en reconnaître le style.

Les huit auteurs ayant participé à ce recueil original ont des choses à dire. Et ils les disent ! Chacun à sa façon, mais toujours avec élégance. Dans l’esprit d’Alfred Jarry qui réinventa le mot de Cambronne.

Une prose hors de portée des “Snipers Woke”. C’est donc perché, mais qu’importe : c’est dit quand même. Et c’est peut-être plus efficace ainsi.

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Cette causerie qui casse les codes ressemble à un ‘chjami i rispondi’ entre Sgiò Tonù, l’auteur central, et ses joyeux convives.

14 textes formant l’accord imparfait, autant d’échos qui se répondent à la manière d’un respons ou d’un antienne.

Il y sera question de cette Corse dont personne n’ose parler, sur fond de désaffiliation, d’acculturation, de perte des identités dans un contexte de mutation sociale et de crise. La face cachée d’une île “paradisiaque”, vouée au fatalisme, à l’incurie ainsi qu’aux affres du tout tourisme.

Si le ton semble blasé, il est surtout très décalé : il vaut mieux en rire ! Et puis qu’est-ce qu’on peut faire d’autre ? Ah oui : il y sera aussi question de fatalisme. Et de tout, de rien surtout : avec le Sgiò, les auteurs sont libres comme l’air. Pourvu qu’ils devinent ses intentions, saisissent la sombre couleur de l’émotion, rehaussée de vert fluo, et qu’ils suivent leur instinct plutôt que des techniques.

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : si toutefois le Sgiò avait imposé un thème, celui-ci n’a guère été suivi, au titre de la liberté d’expression

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plutôt un éloge du dadaïsme ?

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plus proche de l’art performance que des recueils de nouvelles classiques, où on a vite le sentiment que chacun écrit dans son coin. Ici les auteurs se répondent, ou plutôt ils donnent à tour de rôle, parfois avec stupeur, leur réplique devant le Sgiò.

Et puis il y a le cadavre exquis, clé de voûte du recueil. Chaque auteur ayant apporté sa pierre à l’édifice, sans toutefois signer sa contribution : à toi, cher lecteur, d’en reconnaître le style.

Les huit auteurs ayant participé à ce recueil original ont des choses à dire. Et ils les disent ! Chacun à sa façon, mais toujours avec élégance. Dans l’esprit d’Alfred Jarry qui réinventa le mot de Cambronne.

Une prose hors de portée des “Snipers Woke”. C’est donc perché, mais qu’importe : c’est dit quand même. Et c’est peut-être plus efficace ainsi.

Cette causerie qui casse les codes ressemble à un ‘chjami i rispondi’ entre Sgiò Tonù, l’auteur central, et ses joyeux convives.

14 textes formant l’accord imparfait, autant d’échos qui se répondent à la manière d’un respons ou d’un antienne.

Il y sera question de cette Corse dont personne n’ose parler, sur fond de désaffiliation, d’acculturation, de perte des identités dans un contexte de mutation sociale et de crise. La face cachée d’une île “paradisiaque”, vouée au fatalisme, à l’incurie ainsi qu’aux affres du tout tourisme.

Si le ton semble blasé, il est surtout très décalé : il vaut mieux en rire ! Et puis qu’est-ce qu’on peut faire d’autre ? Ah oui : il y sera aussi question de fatalisme. Et de tout, de rien surtout : avec le Sgiò, les auteurs sont libres comme l’air. Pourvu qu’ils devinent ses intentions, saisissent la sombre couleur de l’émotion, rehaussée de vert fluo, et qu’ils suivent leur instinct plutôt que des techniques.

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : si toutefois le Sgiò avait imposé un thème, celui-ci n’a guère été suivi, au titre de la liberté d’expression

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plutôt un éloge du dadaïsme ?

“Ceci n’est pas un recueil collectif” : plus proche de l’art performance que des recueils de nouvelles classiques, où on a vite le sentiment que chacun écrit dans son coin. Ici les auteurs se répondent, ou plutôt ils donnent à tour de rôle, parfois avec stupeur, leur réplique devant le Sgiò.

Et puis il y a le cadavre exquis, clé de voûte du recueil. Chaque auteur ayant apporté sa pierre à l’édifice, sans toutefois signer sa contribution : à toi, cher lecteur, d’en reconnaître le style.

Les huit auteurs ayant participé à ce recueil original ont des choses à dire. Et ils les disent ! Chacun à sa façon, mais toujours avec élégance. Dans l’esprit d’Alfred Jarry qui réinventa le mot de Cambronne.

Une prose hors de portée des “Snipers Woke”. C’est donc perché, mais qu’importe : c’est dit quand même. Et c’est peut-être plus efficace ainsi.

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